Quarante-neuf personnes ont été tuées pendant la prière du vendredi dans des attaques contre deux mosquées de la ville néo-zélandaise de Christchurch. Le Crif apporte sa solidarité aux familles des victimes ainsi qu’aux Néo-zélandais, endeuillés par ce drame.
Horreur terroriste #NouvelleZelande pensées émues pour les victimes fauchées en pleine prière dans deux mosquées, solidarité avec leurs familles et pensées fraternelles à la communauté musulmane endeuillée.
— Francis Kalifat (@FrancisKalifat) 15 mars 2019
La Première ministre Jacinda Ardern a décrit l'une des "journées les plus sombres" jamais vécues par cette nation du Pacifique Sud réputée paisible après ces attaques, les pires contre des musulmans dans un pays occidental.
Des témoins ont raconté avoir vu des corps ensanglantés. Des enfants et des femmes figureraient parmi les morts. La police a demandé aux gens de ne pas partager "des images extrêmement pénibles" après la mise en ligne d'une vidéo montrant un homme blanc se filmant en train de tirer sur des fidèles dans une mosquée. "Il est clair qu'on ne peut que décrire cela comme une attaque terroriste", a déclaré Mme Ardern, ajoutant que 20 personnes avaient été grièvement blessées. "Pour ce que nous en savons, (l'attaque) semble avoir été bien planifiée".
Le tireur à l'une des mosquées de Christchurch, localité de l'Ile-du-Sud, était un ressortissant australien, a révélé à Sydney le Premier ministre Scott Morrison, le décrivant comme "un terroriste extrémiste de droite". Le nombre exact de tireurs n'était pas connu mais Jacinda Ardern a déclaré que trois hommes étaient en garde à vue. La police a précisé que le tireur avait été inculpé pour meurtres, ajoutant que des engins explosifs improvisés avaient été désarmés par les militaires.
Le tireur à l'une des mosquées était un ressortissant australien, a révélé à Sydney le Premier ministre Scott Morrison, le décrivant comme "un terroriste extrémiste de droite". Le nombre exact de tireurs n'était pas connu mais Jacinda Ardern a déclaré que trois hommes étaient en garde à vue. La police a précisé que des engins explosifs improvisés avaient été désarmés par les militaires.
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